michele modérateur animaniax
Nombre de messages : 341 Age : 62 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: LE COLIBRI Jeu 22 Nov 2007, 03:10 | |
| LE COLIBRI Je voudrais vous présenter un oiseau qui est très petit, mais qui fait de grande choses.D’après moi, le colibri est l’un des oiseaux le plus majestueux. Je vais vous présenter le colibri sur d’autre forme car peut-être que certain d’entre vous, voyez le colibri comme un oiseau nuisible.Le colibri est l’oiseau le plus petit du monde même qu’il arrive à se percher sur une efface de crayon. La femelle du colibri-abeille pond les plus petits œufs du monde
Le Canada contient cinq espèces de colibri, mais seul le colibri à gorge rubis est présent dans les régions de l’est. Il habite le Nouveau-Brunswick ,la Nouvelle Écosse, l’île du Prince Édward , le sud du Québec ainsi que l’Ontario.
Le trait le plus remarquable du colibri c’est sa façon de voler. Il se déplace à une vitesse incroyable, change rapidement de direction et disparaît telle une minuscule flèche verte dans le ciel. Il est le seul oiseau à pouvoir faire du sur-place en battant des ailes. Les ailes pointues du colibri peut atteindre le rythme de 55 à 75 battements à la seconde.
Le colibri se nourrit principalement de nectar , de graines et de liquides sucrés. Il y a environ 150 plantes que le colibri raffoles. Les femelles construisent soigneusement leur nid avec des graines, des plumes , de la bourre végétale et elle attache plein de petit morceau de mousse. Le mâle n’intervient jamais à la construction du nid. Après avoir construit le nid la femelle, il va à la recherche d’un partenaire pour se reproduire. La femelle colibri pond deux œufs par année et au bout de deux ou trois semaines les œufs éclosent. Dès leur naissance les petits ont très faim. Après seize jours, les yeux des jeunes colibri sont grands ouverts et ils ont déjà leur plumage. Même si le nid du colibri est situé en hauteur, ceci n’empêche pas les prédateurs de les chasser.
Le mauvais temps, comme une tempête ou une gelé hors-saison mettent particulièrement la vie du colibri en danger. Du fait de la ressemblance avec les insectes, il est également la proie des éperviers et des buses ainsi que d’autres prédateurs insectivores. On a même déjà signalé le cas d’un colibri qui survolait un étang et qui c’est fait avaler par un poisson. Les colibris sont tellement petit qu’ils se prennent souvent aux toiles d’araignée et ceci produit de petit accident qui peut devenir mortel.
Au printemps, à son retour, le mâle délimite son territoire là où se trouve plusieurs sources d’alimentation. Comme ses ressources sont d’une grande importances, il peut être amené à partager avec d’autres femelles ou d’autres mâles colibri. Un des grands comportement naturel du colibri tant pour le mâle que pour la femelle, c’est de défendre leurs réserves alimentaires et les environs contre les intrus du voisinage. Un des moyens de défense du colibri est d’intimider l’adversaire avec la vitesse et le bourdonnement de ses ailes.
Un trait caractéristique du mâle est la fameuse parade aérienne du pendule, qui imite le mouvement d’oscillation fait autour des intrus, mais d’une façon plus élaborée. Le mâle plonge vers la femelle au repos ou en train de se nourrir, la dépasse et puis remonte jusqu'à une hauteur de 2 à 3 m dans les airs et refait la même trajectoire en sens inverse. Il répète maintes et maintes fois ce mouvement de balancier, tout en émettant des sons aigus.
Après l'accouplement, le mâle se désintéresse complètement de la vie familiale. Il part butiner de fleur en fleur, pour y recueillir du nectar, ou s'installe pendant des heures sur un perchoir bien choisi pour surveiller le passage de petits insectes.
Les oiseaux des autres espèces se retrouvent dans l'Ouest. L'espèce la plus commune est le colibri roux Selasphorus rufus, qui niche en Colombie-Britannique, vers le nord jusque dans les îles de la Reine-Charlotte, vers le nord-ouest jusqu'à la frontière de l'Alaska et vers l'est jusque dans le sud-ouest de l'Alberta. Ce colibri s'aventure aussi, bien que rarement, jusqu'au sud-ouest du Yukon, au nord, et jusqu'au sud-ouest de la Saskatchewan, à l'est. Le mâle rouge cannelle a une tache vert lustré sur le sommet de la tête et un jabot écarlate, qui peut parfois paraître noir. La femelle a les parties supérieures vert bronzé, des zones brun rougeâtre sur les flancs et la queue, et parfois, une petite marque rouge et verte sur la gorge.
Le mâle adulte a la queue fourchue (les rectrices effilées vers le bout) ;les parties supérieures , vert lustré ; la gorge , rouge métallique luisant (qui peut paraître noirâtre terne selon la position de l’oiseau) ; la poitrine et le centre de l’abdomen , blanc grisâtre ; les côtés , brun grisâtre entremêlé de vert lustré. La femelle adulte est semblable au mâle adulte , mais elle a la gorge blanc grisâtre; la queue , non fourchue , le bout des plumes étant plus arrondi ; le bout des trois rectrices externes , blanc. | |
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(VALERIE) Administratrice animaniax
Nombre de messages : 912 Age : 52 Localisation : LE BOULOU Date d'inscription : 28/05/2007
| Sujet: Re: LE COLIBRI Jeu 22 Nov 2007, 03:18 | |
| Tres bel oiseau, merci michele pour cet article. | |
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